CINÉMA – La Colombie sous les projecteurs

Par le 10 novembre 2015

Jusqu’au 13 novembre, l’association Amitiés Franco-Colombiennes de Montpellier propose une exposition de photos dans le cadre du festival « Regards sur le cinéma de Colombie et d’Amérique du Sud ». Ces photos illustrent les plateaux colombiens dans les films de quatre réalisateurs sud-américains : La Tierra y la Sombra de César Acevedo, El Abrazo de la Serpiente de Ciro Guerra, Estrella Quiero Ser de Gustavo Nieto Roa, et La Noche de Fernando Garcia Arias.

Le photographe français Michel Gervais est aussi exposé. Il montre un aperçu de Cartagena de Indias, ville inscrite au patrimoine de l’UNESCO. La ville accueille chaque année, le FICCI, festival de cinéma le plus ancien d’Amérique Latine.

Le 10e festival « Regards sur le cinéma de Colombie et d’Amérique du Sud » aura lieu du 13 au 15 novembre 2015 dans les salles Rabelais et Diagonal Capitole de Montpellier.

Retrouvez le programme du festival : ici.

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à propos de l'auteur

Auteur : Gaëlle Colin

Transmettre, raconter, décrire, se confronter à d'autres modes de vie. Aujourd'hui je sais qu'un métier synthétise ces envies : correspondante à l'étranger. Au fil de ma vie Niortaise, j'ai embarqué pour une licence d'Histoire à Poitiers. Un semestre en Irlande fait tout chavirer : par le voyage, je me découvre une passion pour la géopolitique, la rencontre de l'Autre. Terminé pour le long fleuve tranquille ! Ma motivation bien au sec, je débarque à Montpellier pour y étudier les sciences politiques. Assoiffée par ma curiosité et intenable sur place, je me teste en presse quotidienne régionale et en radio associative. Le local m'apprend la rigueur du métier, la réalité du terrain. Aujourd'hui, je navigue entre le monde professionnel via mon contrat de professionnalisation avec Ouest-France et la formation avec le Master 2 Journalisme à Montpellier. « L'exercice du reportage implique deux choses essentielles : le terrain et la curiosité. Donc, j'ai l'habitude de dire qu'il n'y a ni grand ni petit reportage et que le reportage se trouve n'importe où en bas de chez soi, comme bien loin ». Anne Nivat, grand reporter de guerre.