CULTURE – L’exposition « Frédéric Bazille, jeunesse de l’impressionisme » ferme ses portes, auréolée de succès

Par le 19 octobre 2016

L’exposition « Frédéric Bazille, jeunesse de l’impressionnisme », présentée tout l’été au Musée Fabre de Montpellier et fermée depuis dimanche, a su plaire à un très large public.

Tout l’été et jusqu’au 16 octobre dernier, le Musée Fabre de Montpellier mettait à l’honneur le peintre pré-impressionniste Frédéric Bazille. Une exposition qui mêlait les œuvres du peintre montpelliérain du XIXe siècle et quelques travaux de ses contemporains comme Delacroix, Manet ou Renoir.

Une fréquentation historique pour le musée Fabre

Pendant ces trois mois, plus de 115 000 visiteurs sont venus admirer des tableaux importés des quatre coins du monde pour l’occasion. Une fréquentation qui place l’exposition au troisième rang des plus visitées au musée Fabre derrière celles dédiées à Caravage et Courbet qui avaient réunies respectivement 199 000 et 188 000 personnes.

Pour les curieux retardataires, l’exposition sera de nouveau ouverte aux visiteurs au musée d’Orsay à Paris du 15 novembre 2016 au 5 mars 2017.

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à propos de l'auteur

Auteur : Théo Meunier

De ma Bretagne natale à Montpellier en passant par les rives du Bosphore. Du droit à la science politique en passant par la sociologie. C'est ce parcours aussi alambiqué qu'épanouissant qui me mène aujourd'hui à étudier le journalisme. Côté passions je ne sais choisir entre un couplet de Nas et un contrôle de Zidane. C'est d'ailleurs d'abord via mon intérêt pour les presses musicales et sportives que m'est venu l'envie de devenir journaliste. Faire de ces passions un métier par procuration. Décrire les émotions qu'elles procurent, étudier leur complexité et apporter un regard critique, des envies qui se transforment rapidement en projet. Côté centres d'intérêt disons la politique. C'est vrai et en plus ça fait sérieux. Assez tôt attiré par le sujet, j'ai cultivé cet intérêt jusqu'à finalement l'étudier en me détournant de mon parcours initial d'apprenti juriste. A Rennes d'abord puis à Istanbul donc, pour une année de découvertes et d'enrichissement qui m'a ouvert à d'autres sujets et problématiques. Désormais à Montpellier j'essaie d'assembler le tout en apprenant le métier qui le permet.