Matinale du jeudi 28 février – Dernière

Par le 28 février 2013

Depuis novembre, tous les jeudis, les membres de l’équipe d’Haut Courant ont animé la matinale sur Radio Campus Montpellier.

Le 28 février 2013 se déroulait la dernière émission, au programme :

 Les titres de l’actualité internationale et nationale – Coralie Pierre

 Interview d’Edwy Plenel, président et cofondateur de Médiapart au sujet de l’affaire Cahuzac – Simon Robert / Jordane Burnot / Alix Moréteau / Lucie Lecherbonnier

 Journal d’informations locales – Lucie Lecherbonnier

 Chronique : Pourquoi souriiez-vous, Stéphane Hessel ? – Simon Robert

 Interview de Sylvie Crossman, directrice des Editions Indigènes (où a été édité Indignez-vous) au sujet de la mort de Stéphane Hessel – Mathilde Roux

 Animation : Alix Moréteau

Matinale du jeudi 28 février 2013 sur Radio Campus Montpellier by Hautcourant on Mixcloud

Un grand merci à Marine et à toute l’équipe de Radio Campus Montpellier.

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à propos de l'auteur

Auteur : Pauline Chabanis

En 1988, alors qu’Etienne Chatiliez racontait sur grand écran l’histoire trépidante des familles Groseille et Le Quesnoy, je vivais les premières minutes d’une vie qui n’aurait rien d’un long fleuve tranquille. En réalité, de Lyon à Montpellier, en passant par Cannes, j’ai plutôt ricoché. D’un naturel pragmatique et rigoureux, je me tournai très vite vers une filière scientifique, jonglant avec les chiffres, jouant avec les équations. J’étais le Fred de la fonction affine, le Jamy de la masse molaire et je n’y trouvais vraiment rien de sorcier. Puis je me suis rendue compte que les expériences les plus enrichissantes ne se faisaient pas dans des laboratoires mais à travers des rencontres et un partage d’informations. Je n’ai pas eu d’appel, de vocation ; le journalisme ne s’est pas imposé comme une évidence mais comme une alternative envisageable. Une voie possible que j’ai empruntée, d’abord à tâtons en intégrant l’IUT journalisme de Cannes, puis d’un pas décidé lorsque j’ai réalisé, à travers des stages variés, que ce milieu me convenait. Curieuse et déterminée, je ne m’imagine pas en Indiana Jones de l’information, casse-cou et engagée mais en ouvrière discrète de la société. Je ne veux pas de fabuleux destin télévisé, juste une toute petite place en presse spécialisée… sans en faire tout un cinéma.