Matinale du jeudi 7 février

Par le 7 février 2013

Tous les jeudis, les membres de l’équipe d’Haut Courant animent la matinale sur Radio Campus Montpellier.

Au programme du 7 février 2013 :

 Les titres de l’actualité internationale et nationale – Lucie Lecherbonnier

 Interview de Bernard Duffourg, secrétaire académique du SNES de l’Hérault ( Syndicat National de l’Education de Second degré) au sujet du recrutement des professeurs de l’enseignement secondaire – Jordane Burnot / Alix Moréteau

 Journal d’informations locales – Pauline Chabanis

 Chronique : Peut-on rire de tout ? – Simon Robert

 Interview de Nicolas Roubieu, directeur du projet urbanisme de Montpellier 2040 – Clothilde Dorieux

 Animation : Alix Moréteau

La semaine prochaine, l’équipe d’Haut Courant animera une matinale spéciale Saint-Valentin avec la collaboration de la page Spotted : Campus Montpellier. Vous pouvez participer : rédigez votre déclaration d’amour et envoyez-la à l’adresse mail suivante : spotted [point] montpellier [at] gmail.com, avec, pour objet, « Spotted Saint Valentin RCM ». Faites preuve d’imagination, soyez festifs et inspirés ! Les meilleures contributions seront sélectionnées et lues à l’antenne le jeudi 14 février sur 102.2.

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à propos de l'auteur

Auteur : Pauline Chabanis

En 1988, alors qu’Etienne Chatiliez racontait sur grand écran l’histoire trépidante des familles Groseille et Le Quesnoy, je vivais les premières minutes d’une vie qui n’aurait rien d’un long fleuve tranquille. En réalité, de Lyon à Montpellier, en passant par Cannes, j’ai plutôt ricoché. D’un naturel pragmatique et rigoureux, je me tournai très vite vers une filière scientifique, jonglant avec les chiffres, jouant avec les équations. J’étais le Fred de la fonction affine, le Jamy de la masse molaire et je n’y trouvais vraiment rien de sorcier. Puis je me suis rendue compte que les expériences les plus enrichissantes ne se faisaient pas dans des laboratoires mais à travers des rencontres et un partage d’informations. Je n’ai pas eu d’appel, de vocation ; le journalisme ne s’est pas imposé comme une évidence mais comme une alternative envisageable. Une voie possible que j’ai empruntée, d’abord à tâtons en intégrant l’IUT journalisme de Cannes, puis d’un pas décidé lorsque j’ai réalisé, à travers des stages variés, que ce milieu me convenait. Curieuse et déterminée, je ne m’imagine pas en Indiana Jones de l’information, casse-cou et engagée mais en ouvrière discrète de la société. Je ne veux pas de fabuleux destin télévisé, juste une toute petite place en presse spécialisée… sans en faire tout un cinéma.