New York – Toulouse en 42h, c’est possible ?

Par le 28 décembre 2010

New York, Moscou bloquées par la neige, des centaines de vols annulés… Une impression de déjà-vu. La semaine dernière, la météo, déjà capricieuse n’épargnait pas les aéroports européens. Les avions cloués au sol par un brouillard givrant et une importante couche de neige condamnaient des milliers de passagers à passer Noël dans les terminaux des compagnies aériennes. Voici une histoire, parmi tant d’autres, d’un retour en France plus compliqué que prévu.

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à propos de l'auteur

Auteur : Elodie Calas

Originaire d'un petit village tarnais, rien ne me prédestinait à m'orienter vers le métier de journaliste. Après un bac économique, une année d'hypokhâgne à Toulouse a suffit à me convaincre de rejoindre les bancs de la fac de droit. Et, après une courte expérience juridique, c'est finalement vers les sciences politiques (L3 et Master 1) que je me suis dirigée. Mon envie d'appartenir au cercle étroit des journalistes n'est pas nouvelle, mais ce n'est que cette année que mes ambitions professionnelles se ressentent, enfin, sur mon orientation universitaire. Comment expliquer ce choix du journalisme? Aujourd'hui, nombreux sont ceux qui voient dans les journalistes de vicieux vautours manipulateurs, prêts à tout pour obtenir un scoop et l'étaler sur la place publique. Peut-être dois-je remercier ces détracteurs, car ce sont eux qui m'ont convaincu de persévérer dans cette voie. Et tenter de redonner ses lettres de noblesse au journalisme. Après tout un journaliste n'est-il pas ce contre pouvoir qui donne aux citoyens les clés indispensables à la compréhension d'une société ? Naïve ? Non, pas vraiment. Idéaliste ? Sans aucun doute...