« Obama n’a pas changé, c’est le monde qui a perdu ses illusions »

Par le 14 janvier 2010

Mardi soir, au Baloard, le huitième café-démocrate [[Fondé et animé par Franck Michau, le café-démocrate est un temps de débat participatif qui a lieu tous les deux mois au Baloard. ]] donnait la parole au politologue Marc Smyrl. Cet enseignant de Montpellier 1 s’exprimait davantage ce soir là en sa qualité d’Américain. Intervenant régulier à l’université de Denver, dans le Colorado, il a finement observé la première année du mandat de Barack Obama. Et analyse le parcours d’un candidat atypique devenu un président… plutôt ordinaire.

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à propos de l'auteur

Auteur : Alexis Cuvillier

Après une licence Droit-Science Politique et un master de Science Politique, il me tardait d'intégrer une formation qui m'apprendrait mon métier de demain. C'est chose faite désormais! Loin de mon Pas-de-Calais natal, j'approfondis mes connaissances sur le journalisme. Si la profession me tentait depuis le collège, c'est grâce à un stage à la locale de La Voix du Nord d'Arras que cette orientation s'est muée en évidence. Quand j'ai annoncé à mes amis que j'avais décroché un stage dans une locale, certains étaient un peu perplexes. Ils se demandaient quand même bien pourquoi j'allais passer mon été dans une ville de quarante-mille habitants vidée par l'appel de la mer, à couvrir une actualité pour le moins réduite... Et pourtant, ce stage a été une expérience des plus précieuses pour moi. J'ai compris, au contact des journalistes qui me parrainaient, que je me dirigeais vers un métier de passion, où les journées ne se ressemblaient pas, où chaque reportage était un nouveau départ, une nouvelle rencontre, une nouvelle information à livrer à celui qui vous lira peut-être. J'ai passé un an dans les coulisses de cette locale, couvrant quelques sujets chaque week-end. J'ai eu la chance d'y travailler en continu l'été dernier. Aujourd'hui, il me reste tout à apprendre. Le chemin sera sûrement sinueux. Mais au détour des difficultés, je garderai toujours en tête les sensations de cette première expérience révélatrice, sûr que la voie du journalisme est bien la bonne...