Shakira : la bomba latina a encore frappé

Par le 29 novembre 2010

Vendredi soir à l’Arena de Montpellier, la chanteuse colombienne Shakira a enflammé la scène pour le plus grand plaisir de ses fans. Un rendez-vous incontournable pour les aficionados de la danse du ventre.

Un public qui brûlait d’impatience. Après une attente interminable, c’est avec discrétion que la star, enveloppée d’un voile rose, a fait son apparition tout en interprétant une chanson à la mélodie douce.
La chanteuse a en effet présenté son dernier album « She wolf », un mélange de musique pop-rock et de son latino. Mais le public a surtout vibré aux sons des tubes qui ont propulsé la star sur la scène internationale comme « Whenever, Wherever » vendu à 8 500 000 exemplaires ou encore « Hips don’t lie » avec 10 000 000 d’exemplaires. Comme les spectateurs s’y attendaient, ses dernières chansons ont également été interprétées : « Loca » ou encore « Waka Waka » (This time for Africa), le single qui a été choisi comme chanson officielle de la Coupe du Monde 2010.

Shakira, célèbre pour son déhanché envoûtant, a une nouvelle fois montré aux fans ses performances en matière de danse du ventre, au gré de prestations outrageusement sexy… Car en véritable artiste, la belle se tortille aussi bien sur scène que derrière les écrans. Entre un exercice de danse orientale particulièrement chaud et rythmé de plusieurs minutes, une démonstration sensuelle de flamenco et des tenues de scène plus qu’affriolantes, les hommes ont pu se rincer l’oeil tout au long du concert…

Avec près de 70 millions de disques vendus à travers le monde, Shakira a désormais marqué l’histoire de l’Arena en étant la première star internationale à s’y être produite. Un concert qui affichait complet !

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à propos de l'auteur

Auteur : Naouel Jendari

Soucieuse d’élargir ma culture générale et de comprendre les hommes et le monde, j’ai fait des études d’histoire pour ensuite intégrer un master 1 en science politique. Mon amour inconditionnel pour la diversité culturelle et la découverte d’horizons nouveaux, ma curiosité pour l’exotisme et l’ailleurs n’ont fait que conforter mon désir profond de devenir reporter. Le goût de l’écriture et du travail de terrain font que le métier de journaliste, tel que je me le représente, est un métier où tous les jours ne se ressemblent pas et c’est essentiellement ce qui me plaît. Voilà pourquoi je me réjouis d’intégrer ce master 2 qui me permettra d’entrer dans le vif du sujet par l’acquisition des techniques, des règles et des enjeux du métier de journaliste. Car la profession réputée difficile, voire précaire, nous défie, nous, journalistes de demain, de reconquérir nos lecteurs, de revaloriser l’information en la rendant plurielle et transparente. L’information tient le rôle majeur de participer à la formation du citoyen de demain et c’est une des raisons pour laquelle je relève le défi d’un autre journalisme.