Auteur : Cécile Alibert

Auteur : Cécile Alibert
Promotion : 2011
« Tu veux faire quoi quand tu seras grand ? » Combien de fois avons-nous entendu cette question, apparemment incontournable ? Il y a d’abord les décidés qui répondent sans la moindre hésitation et quelques mètres derrière, tous les autres, qui se cherchent encore… Et puis, un jour, la grande révélation se produit. On ne se souvient plus trop comment, ni pourquoi, mais c’est désormais une évidence : on deviendra journaliste. Et peu importe les regards sceptiques ou compatissants qui en disent long sur ce que certains pensent du métier… Pour ma part, le déclic s’est fait au lycée, alors que je me spécialisais en ES. Il a mûri durant mon hypokhâgne à Toulouse, ma Licence d’histoire et mon Master de science politique effectués sur Montpellier. Mon projet s’est définitivement confirmé avec mes expériences au journal L’Indépendant à Narbonne. Pourquoi s’engager dans une telle voie ? Actualité, rencontres, découvertes, écriture… Ce sont tous ces intérêts mélangés qui m’ont naturellement poussée vers un choix de vie pas toujours évident… mais tellement exaltant.

Les Articles de Auteur : Cécile Alibert

  • La jeunesse s’invite dans les urnes

    Par le 18 mars 2011
    Qui a dit que les jeunes ne connaissaient rien à la politique ? En voici deux qui se présentent dans l'Hérault, aux élections cantonales du 20 et 27 mars 2011. L'occasion pour eux de répondre à cinq questions sur l'actualité politique devant la caméra de Haut Courant.
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  • Jean Huet : jeune, communiste et fier de l’être

    Par le 18 mars 2011
    Lunettes Ray-Ban, jean’s slim, cheveux en bataille, barbe de trois jours… Un style faussement négligé bien loin du costard-cravate de rigueur en politique. Pas de quoi déstabiliser Jean Huet, 23 ans et candidat Front de Gauche aux Cantonales 2011. Portrait d’un représentant de la jeunesse montpelliéraine engagée.
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  • Hadopi, touchée coulée ?

    Par le 13 mars 2011
    En janvier 2011, une étude a jeté le doute sur l'efficacité d'Hadopi, pourtant mise en place pour encadrer un nouveau mode de consommation sur internet. Le téléchargement illégal est-il un délit de culture, comme l’affirme la Haute Autorité, ou un nouveau mode de diffusion, selon les dires du Parti Pirate ? Des gendarmes aux...
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  • Il faut sauver le pirate Paflapuce !

    Par le 13 mars 2011
    «Monsieur Climent est venu me voir pour faire valoir ses droits, en dernier recours au niveau européen », relate Me Nicolas Gallon, son avocat montpelliérain. Ce juriste de 31 ans va désormais pouvoir jouer dans la cour des grands. L’adversaire ne sera plus la Sacem ou la SDRM, des organismes de gestion collective des...
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  • James Climent : « Je télécharge de plus belle »

    Par le 13 mars 2011
    James Climent, 38 ans, est un Gardois comme les autres. Photographe et technicien informatique, il passe le plus clair de son temps à s’occuper de ses chats. Sous le coup d’une action en justice, il est considéré comme la victime pré-Hadopi. Aujourd’hui, il donne sa version des faits.
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  • Langue d’oc : mon panneau, ma bataille

    Par le 29 janvier 2011
    Coup de projecteur sur Villeneuve-lès-Maguelone ! Depuis le 12 octobre 2010, des panneaux bilingues sont au centre d’une controverse. S’appuyant sur la décision du tribunal administratif de Montpellier, le Mouvement Républicain de Salut Public exige le retrait de la signalisation en langue d’oc. Il n’en fallait pas moins pour indigner toute la communauté occitane.
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  • L’occitan piétine… et ailleurs ?

    Par le 29 janvier 2011
    La polémique sur les panneaux occitans à Villeneuve-lès-Maguelone met sur le devant de la scène la question des langues régionales en France. Ce débat qui anime le Sud, peut-il ébranler les autres patois ? Focus sur trois exemples : le basque, le breton et le catalan.
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  • Occitanie : les origines d’un déclin

    Par le 29 janvier 2011
    Avant l’épopée des panneaux villeneuvois, l’occitan peinait déjà à exister. Tout comme ses représentants peinent aujourd’hui à passer le flambeau à la nouvelle génération. Si l’image du patois s’est ternie au fil des années, ce n’est pas sans explication.
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