Ce nouveau plan économique passe notamment par la suppression «d’une centaine d’emploi par an sur une période de trois ans» précise le groupe. Déjà marqué par la perte de la moitié de son effectif, le site montpelliérain craint d’être amputé une fois de plus.
« C’est plus dramatique que ce que l’on pensait, réagit Thierry Bodin, coordinateur CGT, pour une entreprise qui est la deuxième ou troisième la plus bénéficiaire de France, il est inacceptable qu’il y ait de nouvelles suppressions d’emplois après déjà plus de 5 000 suppressions de postes en six ans ». En mai 2014, Elise Lucet, journaliste d’investigation, avait interpellé le patron de Sanofi qui venait de supprimer 200 postes montpelliérains.
Un constat qui renforce l’incompréhension des salariés qui n’acceptent pas ce qu’ils vivent comme un sacrifice injustifié.
Catégorie(s) :