Pour Gaston, Philippe Saurel «se frêchise» (sic) en arrivant à «être ennemi avec ses amis». Le dessinateur n’est pas très convaincu par la candidature du maire : «Frêche avait envie de faire avancer la ville. Avec sa candidature au poste de président de région, je me demande quel est le but de Saurel ?» Il renchérit : «Saurel a les mauvais côté de Frêche, il faudrait aussi qu’il ait les bons !», et il s’interroge : «Laissons-lui le bénéfice du doute, son côté dissident plaît, je crois qu’il fait en sorte qu’on le craigne. Reste à savoir s’il veut redonner du poids à Montpellier ou est-ce que c’est Montpellier qui va perdre son maire ?»
Plus posé, Frédéric Destaillats respecte le choix du maire : «S’il pense être légitime et faire le poids pour défendre au mieux les intérêts de Montpellier, alors pourquoi pas ?»