Étiquettes : Iran, lapidation, sakineh mohammadi ashtiani
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à propos de l'auteur
Auteur : Julie Pineaud
Estampillée « made in Sud-ouest », j’ai suivi mes envies en me tournant vers l’histoire à l’université de Toulouse-Le Mirail. Pour ne pas perdre le bénéfice de cette discipline, je me suis tournée vers un master professionnel à Clermont-Ferrand. Des années sur les bancs de la fac où j’ai décidé (enfin) qu’il était temps pour moi d’amorcer une vraie voie professionnelle. Et pas des moindres… Mon cursus a été jalonné de diverses expériences, toutes en presse écrite, à La Dépêche du Midi, à l’AFP en passant par le Nouvel Observateur où j’ai pu prendre mes marques sur le web. Le journalisme ? Pas vraiment une vocation, ni une adulation, mais un vrai intérêt pour cette profession où se conjugue curiosité, pluralité des regards sur le monde qui nous entoure, ce statut de journaliste qui permet de « toucher à tout » et de s’ouvrir vers de nouveaux horizons éloignés des nôtres. Et puisqu’il faut vivre avec son temps, il paraît, sans être une geek, loin de là, il est vrai que j’adhère assez facilement à ces moyens techniques dont nous disposons, futurs et actuels journalistes, pour informer, tel que l’incarne aujourd’hui le net. Idéalement mon futur métier me permettrait de voyager, d’affûter mon esprit de curiosité pour faire partager aux autres les passions, les rêves que poursuivent les uns et les autres et les réalités qui nous entourent. Réellement, celui de pouvoir être une journaliste de terrain, qui retransmet et apporte une information non altérée. Épicurienne sans être éloignée de mes objectifs bien terre à terre, je reste encore dans la retenue vis-à-vis de ce métier, du fait de ma personnalité et de quelques a priori, qui ne demandent qu’à tomber. Afficher tous les articles par Julie Pineaud