L’après-Frêche : entre continuité et rupture

Par le 4 mars 2011

La mort de Georges Frêche, le 24 octobre 2010, a signé la fin d’une histoire politique extraordinaire, qui aura duré près de quarante ans en Languedoc-Roussillon. Élu député socialiste pour la première fois en 1973, puis maire de Montpellier de 1977 à 2004, pour enfin devenir président de la Région jusqu’à sa mort, le natif de Puylaurens dans le Tarn aura laissé une trace indélébile. Les conséquences de sa disparition sont encore floues. Toutefois, les contours se dessinent déjà.

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à propos de l'auteur

Auteur : Grégoire Normand

Né, en Basse-Normandie, près du Mont Saint-Michel, j’ai grandi dans cette région jusqu’au baccalauréat. Et c’est finalement après le bac que je me suis lancé dans une hypokhâgne, au nord de la presqu’île du Cotentin, à Cherbourg où je suis resté une année. Malgré mes racines normandes et les prétendues rivalités entre les deux régions, la Bretagne et la ville de Rennes m’ont accueilli une première fois pendant deux années durant lesquelles j’ai obtenu une licence d’Histoire et de Science Politique. Après avoir goûté aux régions de l’ouest de la France, l’appel du sud se faisait ressentir et c’est vers le sud-ouest et à Toulouse que j’ai posé mes valises pendant une année où j’ai effectué un master 1 de Science-Politique. Après cette année pleine d’expériences, le retour dans le nord fut un peu difficile mais la ville de Rennes sait ouvrir les bras aux gens qui sont déjà passés par là et cette période m’a permis de goûter aux joies du journalisme radio et mesurer le véritable poids des ONG au sein des instances internationales. Enfin après cet aller-retour dans l’ouest de la France, le sud et la ville de Montpellier correspondent à la dernière étape d’un itinéraire universitaire et géographique, certes un peu long mais tellement enrichissant pour un normand qui voit à travers le rôle du journaliste, un besoin d’informer les citoyens.