Régionales 2015 :
Philippe Saurel: « Chaque homme a le droit à sa part de souveraineté »

Philippe Saurel est la tête de liste des Citoyens du Midi pour les élections régionales en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées. Également maire de Montpellier et Président de sa nouvelle métropole, nous l’avons rencontré le 13 novembre 2015. Dans l’interview, il montre comment il s’est lancé tête baissée dans les élections régionales des 6 et 13 décembre prochains.

m90jsUgvh9E

Régionales 2015 :
Gérard Onesta : »On a donné le signal qui manquait pour que l’espoir revienne »

Gérard Onesta est la tête de liste du « Nouveau Monde » (FG, EELV, PO, NGS), pour les élections régionales en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées. Nous l’avons rencontré à Toulouse, entre deux rendez-vous, le 10 novembre 2015. Dans l’interview, il présente sa vision de la politique citoyenne et participative, pour ces élections régionales des 6 et 13 décembre prochains.

0OJ8yvC8tKE

Régionales 2015 :
Louis Aliot : « Je pense que notre programme est supérieur aux autres »

Louis Aliot est la tête de liste Front National pour les élections régionales en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées. Il était à Montpellier le 19 novembre 2015, dans le cadre de sa campagne. Dans cette interview, il explique pouvoir l’emporter les 6 et 13 décembre prochains.

LlDMgNGDxJ0

Interview : HK & Les Saltimbanks reviennent sur les attentats du 13 novembre



A l’occasion de la sortie de leur troisième opus Les Rallumeurs d’Etoiles, le groupe HK & Les Saltimbanks fait sa tournée en France. Nous les avons rencontrés à Chambery, dans le cadre du Tartine Festival, organisé au Scarabée du 19 au 21 novembre 2015.

C’est dans les loges qu’Hadadi Kaddour, alias HK, nous a accordé une interview. Il est notamment revenu sur les attentats du 13 novembre à Paris.

x3g0bkc

Les coups de cœur de la presse du salon millésime bio

Durant les premiers jours du salon millésime bio, les journalistes étaient invités à élire leur coup de cœur. C’est à dire le vin médaillé d’or qu’ils ont préféré. Retour sur les tenants et les aboutissants de ce concours.

1hkGm_kqLR4

L’interview complètement déjantée de Deluxe

Ils sont inclassables. Autant par leur musique que par leur style. Deluxe c’est le groupe bourré de talent à ne pas manquer. Produit par le label indépendant Chinese Man, le groupe de moustachus fait l’unanimité sur tous les nombreux festivals et salles de concerts qu’ils arpentent. Originaires d’Aix-en-Provence, ils ont commencé par jouer dans la rue, qui leur donne ce contact si spécial avec le public. Le 21 novembre dernier, ils se produisaient dans leur ville natale dans le cadre du festival Le Tour du Pays d’Aix. Une scène intimiste pour une salle archicomble. Il n’en fallait pas plus au groupe pour enflammer le public dans un groove ensorceleur. Nous les avons rencontré avant leur concert. Attention, ils prennent autant les interviews au sérieux qu’eux-mêmes.


L’interview complètement déjantée de Deluxe par AveyronFox

La belle Lilliboy, chanteuse (crédit photo : Louis Rayssac)
Pietre, le guitariste (crédit photo : Louis Rayssac)
L'amphithéâtre de la Verrière : intimiste et complet (crédit photo : Louis Rayssac)
Pépé, le saxophoniste déjanté (crédit photo : Louis Rayssac)
Le public est envouté par l'énergie de Deluxe (crédit photo : Louis Rayssac)
Deluxe face à son public (crédit photo : Louis Rayssac)
Lilliboy, la plus moustachue du groupe (crédit photo : Louis Rayssac)

Grève à Rue89 : « Notre route continue »

Pascal Riché, co-fondateur et directeur de la rédaction de Rue89, était de passage à Montpellier vendredi 14 décembre. L’occasion pour les étudiants du Master 2 Métiers du journalisme de l’interroger sur le conflit qui a opposé, la semaine dernière, la rédaction de Rue89 à son actionnaire, le groupe Nouvel Observateur. Interview vidéo.

x18luxg

Marathon de Montpellier : « Se dépasser et dépasser les autres »

Rendez-vous incontournable des joggeurs, le marathon de Montpellier s’est déroulé le week-end dernier. Au programme : marathon des enfants, marathon relais et le marathon individuel.

Veille de course dans le village du marathon installé dans les jardins de l’esplanade, entre le Corum et la place de la Comédie. Les futurs participants se pressent aux stands des inscriptions et à la remise des dossards avant de déambuler dans les autres stands proposant les équipements nécessaires au bon marathonien : chaussures de courses, maillots, short, joggings, cardio-fréquencemètres, chronomètres et autres boissons protéinées. Au milieu de l’allée centrale, des coureurs plus ou moins confirmés se rassemblent autour des panneaux affichant le parcours de l’épreuve et les points de relais et ravitaillement. Certains s’inquiètent déjà, d’autres tentent de prévoir leur rythme de course. En attendant le lendemain.

Départ du marathonDimanche 13 octobre. 8h. Lever de soleil sur Montpellier. Jeunes, moins jeunes, hommes, femmes, tous étaient alignés sur la ligne de départ de l’édition 2013 du marathon de Montpellier, place de la Comédie et prêt à en découdre. Levés, pour certains, depuis 6h du matin, les participants, écouteurs aux oreilles et visages fermés s’échauffent ou discutent avec leurs proches en se fixant les objectifs de course. A 9 heures précise le coup de départ est donné par Hélène Mandroux, le maire de Montpellier et Thierry Omeyer, gardien de but de l’équipe de France de handball et du club de Montpellier. Partent en premier les marathoniens purs et durs, suivis, une demi-heure plus tard, de la marche nordique puis du relais pour un parcours de 42,6 kilomètres. Record à battre : 2h25 pour les hommes et 2h51 pour les femmes.

«Mélanger effort de longue durée et fête»

Pour les autres, le marathon rime plutôt avec plaisir et détente. Déguisés en gladiateurs romains ou en Flash Gordon, célèbre personnage de bande dessinée américaine, les relayeurs tranchent avec les marathoniens individuels. Ici, la compétition passe parfois au second plan, laissant place à un esprit de convivialité. « On prend ça à la rigolade » confie Léonore. Pour d’autres, il s’agit à la fois de « mélanger effort longue durée et fête ». Néanmoins, il s’agit tout de même de conserver un certain esprit de compétiteur. « On fait ça pour se dépasser et dépasser les autres » annonce en souriant Sèverine. En bref, courir sans se prendre la tête en passant un moment de convivialité et en partageant un effort commun.

Du côté de la marche nordique, seconde épreuve à s’élancer et première à franchir la ligne d’arrivée, le but du marathon revêt un caractère plus symbolique. La ligue contre l’obésité a, en effet, encouragé plusieurs concurrents à participer afin de mener une action démontrant les bienfaits du sport, même à un rythme plus modéré, sur les personnes souffrant de problèmes de surpoids. De même, certains coureurs invalides ont pris part au marathon et au relais. Avec comme récompense à l’arrivée la fierté d’avoir terminé le parcours. Solidarité et prévention étaient également de la partie au cœur du village marathon avec l’installation de stands de l’Établissement Français du Sang et des Restos du Cœur récoltants dons pour les malades et les personnes plus précaires.

Victoire d’Habib Mosbah, record de l’épreuve chez les femmes

A 11h24, l’épreuve reine, le marathon s’achève pour Habib Mosbah, vainqueur masculin, en deux heures, vingt-huit minutes et onze secondes mais dont le chrono ne battra pas le record de l’an passé. Le premier coureur kényan, pays ayant fourni les plus grands spécialistes de la discipline, n’arrive qu’en septième position. Chez les femmes c’est l’Ougandaise Immaculete Chenuai qui s’impose en deux heures, quarante neuf minutes et six secondes, battant ainsi le record établi sur la précédente édition. Au final cette quatrième édition est un succès total puisqu’elle a réuni plus de 6000 participants dont 960 pour le seul marathon. Un évènement qui tient donc la distance.

x1645ju

Reportage sur les artisans du bâtiment de la Paillade

Version complète du reportage de la 2ème émission K-In actu

Le reportage présenté dans le deuxième numéro de K-In actu n’étant qu’une version partielle, voici la version intégrale du reportage de quatre minutes. L’AMAI, association Montpelliéraine d’aide et d’insertion n’a pas souhaité être associée aux invités et interviewés sur le plateau de l’émission, membres de l’association 2AIP. Ces deux associations d’artisanat du bâtiment, basées dans le quartier de la Paillade poursuivent pourtant un même but : faire entendre leur voix auprès des pouvoirs publics de Montpellier qui n’accordent des chantiers qu’aux gros constructeurs, sans impliquer les artisans locaux comme c’est le cas sur le chantier de Pierrevives. Si l’AMAI estime que la CAPEB, syndicat des artisans du bâtiment, n’œuvre pas suffisamment en faveur de l’emploi de ces artisans locaux, l’association 2AIP est associée à la CAPEB et soutenue par le Conseil général. Alors qu’André Vezihnet a décidé de retirer à l’AMAI une subvention de près de 40 000 €, les tensions entre les deux associations sont palpables. C’est pourquoi le reportage a été tronqué dans l’émission. Pour voir la deuxième édition de K-In Actu, cliquer ici.

xy0xhb

2e émission K-In Actu

Les membres de l’équipe d’Haut Courant animent l’émission K-In Actu en collaboration avec Kaïna TV.

Au programme du 22 février 2013 :

Reportage sur les artisans du bâtiment : Le chantier de Pierrevives fait débat – Jordane Burnot, Clothilde Dorieux, Marion Genevois, Coralie Pierre

Interview de Saïd Benabida et Najib El-Aïdaoui, respectivement président et vice président de l’associaiton 2AIP

Le Rapporteur : Entretien avec Tekilla- Richard Lacroix, Simon Robert

Chronique Viens dans mon quartier – Lucie Lecherbonnier

Présentation : Coralie Pierre, Simon Robert

Le reportage présenté dans cette émission n’est qu’une version partielle d’un reportage de quatre minutes.
L’AMAI, association Montpelliéraine d’aide et d’insertion n’a pas souhaité être associée aux invités et interviewés sur le plateau de l’émission, membres de l’association 2AIP. Ces deux associations d’artisanat du bâtiment, basées dans le quartier de la Paillade poursuivent pourtant un même but : faire entendre leur voix auprès des pouvoirs publics de Montpellier qui n’accordent des chantiers qu’aux gros constructeurs, sans impliquer les artisans locaux comme c’est le cas sur le chantier de Pierrevives. Si l’AMAI estime que la CAPEB, syndicat des artisans du bâtiment, n’œuvre pas suffisamment en faveur de l’emploi de ces artisans locaux, l’association 2AIP est associée à la CAPEB et soutenue par le Conseil général. Alors qu’André Vezihnet a décidé de retirer à l’AMAI une subvention de près de 40 000 €, les tensions entre les deux associations sont palpables. C’est pourquoi le reportage a été tronqué dans l’émission. Pour voir la version complète de ce reportage, cliquer ici.

xxz1yn