Cette semaine, Corentin nous parle de la situation et de l’évolution du journalisme de guerre. Il constate un passage d’une couverture par des journalistes occidentaux à celle par des citoyens locaux, photoreporters apprentis. Un choix, une nécessité, un dilemme. Beaucoup d’interrogations auxquelles nous essayons de répondre notamment à travers le témoignage d’Hugo Clément, journaliste au Quotidien.
Théo s’intéresse lui, au traitement médiatique de l’écologie. Au départ de cette réflexion, des questions hasardeuses concernant l’écologie, par les journalistes du deuxième débat de la primaire socialiste. L’occasion de s’attarder sur les travaux du sociologue Jean-Baptiste Comby concernant la manière dont les médias dépolitisent et individualisent la question de l’écologie.
Enfin, Léo nous présente le rapport « Journalism that stands apart », écrit par les journalistes du New York Times. Un document qui prévoit diverses innovations dans la mise en scène de l’information pour devenir « un point de rendez-vous indispensable » de l’info.
Le tout assaisonné d’une sélection musicale. Cette semaine, Corentin et Théo vous présente Atmosphere et Kid Cudi.
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à propos de l'auteur
Auteur : Théo Meunier
De ma Bretagne natale à Montpellier en passant par les rives du Bosphore. Du droit à la science politique en passant par la sociologie. C'est ce parcours aussi alambiqué qu'épanouissant qui me mène aujourd'hui à étudier le journalisme.
Côté passions je ne sais choisir entre un couplet de Nas et un contrôle de Zidane. C'est d'ailleurs d'abord via mon intérêt pour les presses musicales et sportives que m'est venu l'envie de devenir journaliste. Faire de ces passions un métier par procuration. Décrire les émotions qu'elles procurent, étudier leur complexité et apporter un regard critique, des envies qui se transforment rapidement en projet.
Côté centres d'intérêt disons la politique. C'est vrai et en plus ça fait sérieux.
Assez tôt attiré par le sujet, j'ai cultivé cet intérêt jusqu'à finalement l'étudier en me détournant de mon parcours initial d'apprenti juriste. A Rennes d'abord puis à Istanbul donc, pour une année de découvertes et d'enrichissement qui m'a ouvert à d'autres sujets et problématiques.
Désormais à Montpellier j'essaie d'assembler le tout en apprenant le métier qui le permet.
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