L’association Les Amis des Enfants d’Haïti se mobilise pour continuer à aider à la reconstruction du pays. Voici quelques évènements à ne pas rater pour aider cette petite association locale, présidée par Bendique Paul qui ajoute « plusieurs personnes qui étaient présentes à la maison des Relations Internationales lundi 20 janvier, se sont investies avec nous, pour nous offrir leurs services gratuitement… » D’organisateur de soirée, à peintre, en pensant par une compagnie de danse et différents artistes, tous ont voulu faire ce geste pour les Haïtiens.
Si comme eux, vous souhaitez passer d’agréables soirées et contribuer à la reconstruction de ce pays dévasté, voilà quelques idées pour ne pas les oublier.
A venir :
Le samedi 30 janvier 2010 à 19h30, la salle Guillaume de Nogaret (espace Pitot) accueille l’association Les Amis des Enfants d’Haïti qui organise un Méga-Concert de Gospel avec les chorales Kumbaya, Good News, Mianzi, etc.
Avec la participation de la Mairie de Montpellier, MK Production et de plusieurs associations. L’entrée est de 5 euros minimum. Tous les fonds iront au profit des sinistrés du séisme en Haïti.
Le vendredi 5 février 2010 au Grec’Os de Magalas dîner-spectacle-dansant avec magiciens-ventriloques, chanteuses, danseuses et transformistes.
32€ (entrée, plat, fromage, dessert, café, vin). Réservation au 04-30-54-35-25 ou au 06-22-94-27-18 (organisateur Michel LAISSAC).
Le mardi 16 février à 19h30, au Centre 665, concert de jazz avec le groupe Savannah Mujik Trio et Exposition de Tableaux. Entrée (10€ / 5€).
Le samedi 20 février à 20h30,à la Salle de Courpouyran à Juvignac, Show Mike Brant par Marc Flyn , entrée 10 euros. Contact au 06.69.31.11.74.
À suivre les photos, les impressions, les dons recueillis suite au concert de ce samedi 30 janvier 2010.
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à propos de l'auteur
Auteur : Camille Garcia
« Avec le temps va tout s’en va », disait le grand Ferré... Tout, sauf cette envie de journalisme qui me tiraille déjà depuis longtemps. Le chemin fut sinueux et peu conventionnel avant d’intégrer ce master métiers du journalisme. Cinq longues années à errer entre une première année de droit, puis un master 1 LEA Europe qui aura eut le mérite de me faire franchir les frontières du territoire français pendant deux ans. Après un passage à Liverpool chez les quatre garçons dans le vent que sont les Beatles ou une épopée andalouse chez le roi Boabdil et sa divine Alhambra de Granada, me voilà en territoire Héraultais. « L e journalisme, c’est bouché » me disait déjà à l’époque Mme François la conseillère d’orientation en troisième. « Les journalistes, tous des fouineurs » ajoutait Mr Chabrier mon cher et tendre voisin. C’est dire si journaliste est une vocation, un sacerdoce qui demande avant même de pouvoir l’exercer une grande ténacité et une grande volonté pour s’opposer aux nombreux pessimistes voire détracteurs de la profession. Et pour continuer avec la morosité ambiante, maintenant, c’est la crise de la presse, la mort des journaux, le lecteur n’achète plus, ne fait plus confiance aux journalistes...
Mais alors pourquoi vouloir se lancer dans une bataille déjà perdue ? Ma réponse est simple et courte : je ne me vois pas faire autre chose et c’est une histoire de passion et de passionnés. Je crois que c’est à nous futurs journalistes de reconquérir nos lecteurs, de revaloriser l’information, de la diversifier, de la rendre originale et pluraliste en répondant aux besoins du lectorat sans oublier de susciter chez eux l’envie de s’informer, d’en savoir plus. Alors même si les journalistes précaires se ramassent à la pelle comme les feuilles mortes du grand Prévert, tant pis! Je reste convaincue qu’après l’automne vient le printemps et qu’une nouvelle génération de journalistes, la nôtre, aura sa place. Satanée optimisme quand tu nous tiens !
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