SOLIDARITÉ – 28e Quinzaine des Solidarités Internationales

Par le 18 novembre 2017

Du 18 novembre au 2 décembre se tiendra la 28ème Quinzaine des Solidarités Internationales organisée par l’Association « La Maison des Tiers-Mondes et de la Solidarité Internationale » à Montpellier.

« Face aux inégalités : les mobilisations citoyennes ». Le lancement de la Quinzaine s’est effectué dans le cadre du 6e Festival Solid’Airs (du 17 novembre au 3 décembre) Place de la Comédie ce samedi 18 novembre. Une inauguration festive où élus et artistes se sont côtoyés dans un esprit convivial et ouvert.

Le vernissage de l’exposition de la Quinzaine, intitulée « Tout un art », se tiendra le lundi 20 novembre, à 18h, à la Maison des Relations Internationales Nelson Mandela. Du lundi 20 novembre au 1er décembre, Arnaud Labarge (sculpture), Débit de Beau (photos), Elaine Mery (sculpture), Mahi (peinture, dessin, sculpture), Sadik Farabi (peintre) et Suzanne Hamoul (peinture) y exposeront des oeuvres engagées abordant les questions de solidarités et d’inégalités.

Lors de la Quinzaine des Solidarités Internationales (QSI), une dizaine de conférences et rencontres permettront d’engager le dialogue sur les problématiques de logement, d’éducation, de migration, de malnutrition, d’inégalités et des nouvelles technologies. L’Espace Martin Luther King, l’Espace Jacques 1er d’Aragon, la Salle Rabelais, le Gazette Café, Pierres Vives, le Cinéma Diagonal et la Maison des Relations Internationales seront les théâtres de ces évènements.

Des mobilisations citoyennes, des intervenants de qualité, des thématiques d’actualité et des artistes engagés… autant de raisons d’aller à cette 28e Quinzaine des Tiers-Mondes.

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à propos de l'auteur

Auteur : Clara Mure

Montpelliéraine de souche et italienne de coeur, je reste avant tout une enfant du monde et de la génération Erasmus. Issue de la Science Politique mais aussi du monde de l’Esthétique, j’ai toujours voulu appliquer ce double cursus aux mots d’Albert Camus qui m’ont toujours animée « Un journal c’est la conscience d’une nation ». En tant que journaliste, j’allais ainsi devoir faire preuve de « contact et de distance », comme l’indiquait Hubert Beuve-Méry, afin de devenir l’intermédiaire entre le peuple et l’État, le prescripteur de l’actualité et le garant de notre Démocratie. Une des interrogations les plus primaires dans notre existence est la suivante : « Que voudras-tu faire plus tard ? », plus tard sous-entendant au moment de notre vie d’adulte où nous devons déterminer du rôle que nous voulons tenir au sein de la société. John Lennon leur avait répondu « heureux », alors qu’aux yeux de tous il n’avait pas compris la question, il semblait déjà détenir le sens de la vie. Je peux affirmer que l’écriture, mais surtout sa portée, est certainement la clef de mon bonheur. Écrire pour croire, écrire pour comprendre, écrire pour révolter, écrire pour exister. Être journaliste a toujours été pour moi une évidence, car au-delà d’une vocation, c’est inscrit dans mon ADN. En devenant journaliste, je confirme la vulgate nietzschéenne : « Deviens ce que tu es ». Et en assumant pleinement ce que je suis, je donne un sens à ma vie avec pour priorité, d’être utile. Engagée, je ne saurai que l’assumer. Pacifiste, résolument, j’utilise ma plume comme d’une arme pour combattre l’obscurantisme et défendre mes idéaux. Ma conviction : que des mots sélectionnés avec raison aient bien plus de poids que le sang sur leurs mains. Seule l’encre salira les miennes mais avec la ferme intention qu’elle n’ait coulée en vain. Je vous parlerais bien des enseignements de la Science Politique, des doctrines qui forgent et de celles qui font réfléchir, de celles qui animent et des autres qui désarçonnent ; Mais surtout de ces Hommes qui ont marqué l’Histoire du poids de leurs convictions et du vacarme de leur volonté ! Je vous parlerais bien du goût de l’aventure, de l’apologie de la rencontre, de l’éloge du risque et de l’oraison de l’expérience. Mais Philippe Bouvard nous a un jour soufflé que « le journaliste doit avoir le talent de ne parler que de celui des autres », alors je vais m’y entreprendre dès maintenant.