Haut Courant sur Radio Campus : le gaz de schiste

Par le 24 février 2011

L’exploration du gaz de schiste suscite débats et controverses en France. L’occasion pour l’équipe d’Hautcourant de revenir sur les différents niveaux de mobilisation. Que ce soit au Québec, à l’Assemblée nationale, dans la communauté scientifique ou dans le sud de la France, la prospection du gaz de schiste soulève la résistance des citoyens et des collectifs, avec en tête de file José Bové. Si la suspension provisoire des permis d’exploration, décidée par la ministre de l’environnement Nathalie Kosciusko-Morizet, ralentit le processus d’exploration, la colère et la mobilisation de l’opinion publique s’organise.

Au sommaire de l’émission du 15 février 2011

 Retour sur le film Gasland

 Mobilisation au Québec

 Réactions de la ministre de l’écologie Nathalie Kosciusko-Morizet à l’Assemblée nationale

 Interview de José Bové, eurodéputé écologiste

 Interview de Jean-Claude Favier, membre d’Attac à Montpellier

 Interview de Françoise Elbaz Poulichet, chercheuse et chimiste à l’université Montpellier 2

 Mobilisation des collectifs à Montpellier

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à propos de l'auteur

Auteur : Grégoire Normand

Né, en Basse-Normandie, près du Mont Saint-Michel, j’ai grandi dans cette région jusqu’au baccalauréat. Et c’est finalement après le bac que je me suis lancé dans une hypokhâgne, au nord de la presqu’île du Cotentin, à Cherbourg où je suis resté une année. Malgré mes racines normandes et les prétendues rivalités entre les deux régions, la Bretagne et la ville de Rennes m’ont accueilli une première fois pendant deux années durant lesquelles j’ai obtenu une licence d’Histoire et de Science Politique. Après avoir goûté aux régions de l’ouest de la France, l’appel du sud se faisait ressentir et c’est vers le sud-ouest et à Toulouse que j’ai posé mes valises pendant une année où j’ai effectué un master 1 de Science-Politique. Après cette année pleine d’expériences, le retour dans le nord fut un peu difficile mais la ville de Rennes sait ouvrir les bras aux gens qui sont déjà passés par là et cette période m’a permis de goûter aux joies du journalisme radio et mesurer le véritable poids des ONG au sein des instances internationales. Enfin après cet aller-retour dans l’ouest de la France, le sud et la ville de Montpellier correspondent à la dernière étape d’un itinéraire universitaire et géographique, certes un peu long mais tellement enrichissant pour un normand qui voit à travers le rôle du journaliste, un besoin d’informer les citoyens.