Saint Jean de Védas, 21h30. Les étudiants du master journalisme de Montpellier -et rédacteurs du site Haut Courant– arrivent au siège de quotidien régional, accueillis par le journaliste Didier Thomas-Radux.
Après une courte présentation historique et générale du journal, Haut Courant déambule dans les bureaux de la rédaction. Il est 22h30 et quelques journalistes sont encore d’astreinte : ils attendent, devant une vieille télévision, les résultats définitifs des derniers événements sportifs en cours.
La visite se poursuit dans les rotatives de Midi Libre. Le quotidien du Languedoc-Roussillon a cette particularité de disposer de sa propre imprimerie. Elle tire également les exemplaires de l’Indépendant, de Centre Presse, du Monde, des Echos …
D’abord, des plaques d’encres sont constituées. Chaque plaque représente une page du journal, qui va varier selon l’édition. 2500 plaques sont produites chaque jour.
Chaud pour l'impression pic.twitter.com/oaaznk1BUH
— Maxime NOIX (@Maquessime) 14 Janvier 2015
Suite visite rotatives pic.twitter.com/NIfO1cHacs
— Maxime NOIX (@Maquessime) 14 Janvier 2015
Les plaques d'alu qui servent à l'impression pic.twitter.com/hGG1Q7Uh9S
— Maxime NOIX (@Maquessime) 14 Janvier 2015
Ici, il y a environ 1 mois de stock de papier journal !
.@HautCourant en visite à l'imprimerie du Midi Libre pic.twitter.com/nf4po2AZJc
— Pierre Lelièvre (@PierreLel) 14 Janvier 2015
Une salle de machines établie sur deux niveaux et qui grouille de bruit…
Vient ensuite l’empaquetage automatisé des journaux, qui seront acheminés vers les différents points de vente de la région. Les premières livraisons s’effectuent vers 2 heures du matin pour les villes les plus éloignées de la rotative, telles que Rodez ou Perpignan. L’édition de Montpellier est ainsi la dernière imprimée, ce qui fait d’elle la plus complète avec des informations éventuellement tombées jusqu’à 4 heures du matin.
— Maxime NOIX (@Maquessime) 14 Janvier 2015