TRANSPORT – Les revendications des salariés de la TAM

Les employés de la TAM étaient en grève hier, mercredi 29 janvier. De fortes perturbations ont eu lieu sur le réseau, tandis que la direction annonçait 40% des services assurés, rapporte le quotidien gratuit 20 Minutes. Selon les syndicats, près de 70% des salariés n’ont pas travaillé. Et « ça ne fait que commencer » prévenait le délégué syndical de la CGT, Bernard Gotis, mercredi matin.

Les agents de la TAM réclament une revalorisation de leurs salaires. L’union syndicale a remis un dossier à la direction, affirmant que les salaires des employés sont 200€ brut en dessous de la moyenne nationale.
Ils en appellent également à une embauche locale pour le contrôle des voyages. Aujourd’hui, une partie de ce service est sous-traitée par une société privée de Lyon, soit 16 agents sur les 130 au total.

Le tramway gratuit, bientôt sur les rails ?

Alors que la campagne des municipales commence, la question du prix du tramway, dans un contexte de crise budgétaire et environnementale, est toujours d’actualité. Face à un prix des tickets jugé trop élevé, Chateauroux et Aubagne ont opté pour la gratuité des transports publics. Et si c’était le cas à Montpellier ?

En 2008, durant les précédentes élections municipales, Jacques Domergue ouvrait la porte à la gratuité des transports en commun à Montpellier. Très vite qualifié de « démagogue » par son opposante socialiste aux municipales Hélène Mandroux, le candidat UMP s’était alors rétracté. Aujourd’hui le débat de la gratuité des transports s’est plutôt déplacé vers le coût.
À Montpellier, plus de 300000 personnes se déplacent en tramway chaque jour, ce qui en fait un des plus fréquenté de France. Cependant, le prix des billets demeure un frein pour bon nombre de personnes. À 1,40 euro le trajet, Montpellier est au-dessus du prix moyen du ticket unitaire, tombé en dessous de 1,20 euro selon l’Union des transports publics entre 2003 et 2013. Pour le reste, comptez 2,50 pour un aller-retour, 3,80 pour un ticket à la journée et 12 euros pour un carnet de 10 tickets. Du côté des abonnements, les prix sont tout aussi peu attractifs : 48 euros pour un forfait mensuel et 432 à l’année même si les moins de 26 ans peuvent bénéficier de réductions. Tout comme les demandeurs d’emploi, les handicapés ou les seniors, auxquels sont proposés des forfaits subventionnés, à demi-tarif ou gratuits.

À Châteauroux et Aubagne : on voyage gratuitement

En 2001, Châteauroux teste la gratuité des transports en commun. Une réussite, selon Emmanuel Gerber, chargé de la question des transport à l’agglomération castelroussaine : « La mesure est très appréciée, il y a eu une augmentation de 200 % des chiffres de fréquentation depuis 2001 ». À Aubagne, la mesure est en vigueur depuis 2009. Nathalie Castan, directrice du service transport à l’agglomération, dresse le même constat : « Il y a eu une forte hausse de la fréquentation. Plus 50% la première année et plus 170% aujourd’hui. Et sans avoir développé l’offre ! Sauf, bien sûr, une augmentation du nombre de bus pour les lignes en saturation. » Paradoxalement, la gratuité a un prix. Pour compenser la perte de revenus de la billetterie – environ 7% du budget global – les deux agglomérations ont appliqué la même recette : la création d’une taxe transport de 0,6% de la masse salariale des entreprises et des administrations de plus de 9 salariés. Leur budget transport n’a donc augmenté que d’environ 15% pour servir près de trois fois plus de personnes. Pour les deux communes, l’origine du projet est la même. Aussi, selon Emmanuel Gerber, « mettre en place la gratuité est une volonté politique ( ndlr: de la majorité socialiste précédente ) ». Gratuité qui n’a pas été remis en cause depuis. Nathalie Castan ajoute : « Ce projet est motivé par l’idée de droit au transport, une idée sociale et environnementale. »

Des populations satisfaites

Dans ces communes, plusieurs enquêtes de satisfaction ont montré que les usagers étaient, à plus de 95 %, satisfaits. Par rapport à l’ancien prix des tickets, les ménages réalisent en effet une économie de 200€ à 400€ par an. A Aubagne, la gratuité aurait « capté les personnes qui ne prenaient pas le bus avant. Notamment les jeunes qui, en plus de le prendre pour aller en cours, le prennent aujourd’hui pour sortir en ville ». Elle poursuit : « Selon les enquêtes sur les nouveaux usagers du bus, il y a un report modal d’environ 50% de la voiture vers le bus. » Malgré des résultats intéressants, les deux spécialistes estiment que ces schémas doivent être évalués au cas par cas. Dès lors, si la gratuité est possible pour des agglomérations de taille moyenne, elle est plus difficilement envisageable pour les plus grandes. Emmanuel Gerber souligne : « Le support financier de la billetterie n’est pas neutre. C’est même très important. Notre recette billetterie était de 7% de notre budget transport. Compenser 7%, c’est faisable. Dans les grandes villes comme Montpellier, c’est plus proche de 30% ce qui n’est pas négligeable et bien plus difficile à compenser. »

Montpellier : des tarifs sociaux plutôt que la gratuité

En 2008, Hélène Mandroux avait posé les bases du débat actuel : « Je ne connais pas la gratuité. Il faut bien que quelqu’un paie. Un tarif social serait plus intelligent et plus juste que la gratuité totale. » Et son discours a su prévaloir chez les candidats des municipales de mars. Malgré leurs différends, Jean-Pierre Moure est du même avis. Refusant la gratuité, il plaide pour « une tarification sociale, pour stopper la pression financière qui pèse sur les ménages. Car la gratuité des uns, ce sont les impôts des autres. » Cependant, difficile pour lui d’avancer un prix précis, il propose seulement « un élargissement de la gamme de tarification sociale avec un coup de pouce pour les étudiants boursier. La fourchette se situera entre les prix actuels et ce qui se fait à Toulouse. » Les étudiants non boursier ne semblant pas être concernés. Phillipe Saurel, dissident PS, propose lui un tramway à 1 euro avec des tarifs sociaux. Sans préciser la teneur de ces derniers. Pour l’UMP Jacques Domergue, « La gratuité n’est plus d’actualité. On l’avait proposée en 2008 mais ce n’était pas réalisable. » Le candidat souhaite se tourner vers les 55 000 étudiants : « Nous voulons leur proposer un abonnement mensuel de 10 euros comme cela se fait à Toulouse. Les étudiants n’ont pas trop de budget et peuvent être obligés de frauder. Avec un abonnement mensuel à 10 euros, pas sûr qu’on perde de l’argent car il y aura une baisse de la fraude. » Il n’exclut cependant pas la gratuité pour le futur, s’il arrive aux commandes de l’agglomération et donc, de la TAM. En revanche, face au coût d’une telle mesure et refusant d’augmenter les impôts, il préfère « regarder sérieusement la faisabilité ou non de ce projet. Pour l’heure, ce qui compte c’est le tarif spécial pour les étudiants, pas la gratuité », conclut-il.

« La gratuité pour 30% des personnes en fonction de leurs revenus »

Seule Muriel Ressiguier, tête de liste Front de Gauche, appelle aujourd’hui à la gratuité complète. Pour elle, si « seulement 15% des Montpelliérains utilisent les transports en commun alors que c’est l’avenir, c’est qu’il y a un problème ! » Dans ce contexte, elle souhaite dès 2015 proposer « la gratuité pour 30% des personnes en fonction de leurs revenus, incluant donc une grande partie des étudiants. » Puis augmenter par palier le pourcentage de personnes ayant accès à la gratuité, jusqu’à ce qu’elle soit totale. À en croire les candidats, il faut donc s’attendre, dans tous les cas, à voir les prix des tickets et abonnements de tramway diminuer. À moins qu’ils ne nous fassent marcher…

Le tracé de la ligne 5 du tramway fait débat au conseil municipal

Lundi 17 février avait lieu l’ultime conseil municipal de la maire PS Hélène Mandroux. Le 52ème de son mandat, pour le moins agité. Certains élus n’ont pas hésité à prendre la parole et utiliser l’invective. Notamment sur la question de la ligne 5 du tramway.

En période pré-électorale, chaque candidat y va de sa stratégie. Celle de Jacques Domergue paraît claire : il veut se faire remarquer. A l’annonce de l’affaire numéro 23, intitulée « Convention financière Ville/Communauté d’Agglomération pour l’adaptation d’équipements de la Ville liés au tramway lignes 4 et 5 », son sang ne fait qu’un tour. Il demande aussitôt la parole.

« Mais sur quel tracé exactement vont porter les aménagements ? »

Anne-Rose Le Van, conseillère municipale de l’opposition (Gauche Anticapitaliste-Fédération pour une Alternative Sociale et Écologique), a été plus rapide. Elle entame les hostilités. « Mais sur quel tracé exactement vont porter les aménagements ? », demande-t-elle. Des incertitudes planent toujours concernant le parcours que va emprunter le tramway de la ligne 5. Notamment le passage ou non au cœur du Parc Montcalm, reliant la rue des chasseurs aux rues de Fontcouverte et de Bugarel. Un espace de plus de 26 hectares. En octobre 2013, un recours de l’association Arfa-Parc Montcalm avait été porté devant le tribunal administratif de Montpellier. Déjà en cause, le tracé de la ligne 5 du tramway. Celui-ci amputerait le parc de 8 hectares, un affront pour cette association qui milite pour la sauvegarde du parc dans son intégralité.
Madame Le Van ne comprend pas l’objet de cette délibération, la question du tracé n’ayant pas encore été réglée.

Jacques Domergue, en vrai plébéien, lance le débat

Jacques Domergue, conseiller municipal de l’opposition (UMP), renchérit. Il peste contre la mauvaise foi des élus. « La ligne 5 du tramway passera par le parc Montcalm », affirme-t-il. Immédiatement contredit par Serge Fleurence, premier adjoint au maire (groupe socialiste) : « Non, Monsieur Domergue, la ligne 5 ne passe pas au cœur du parc Montcalm mais en lisière. Arrêtez de dire de telles choses, après elles sont relayées par les journalistes. C’est faux ».
Mais rien n’arrête Jacques Domergue, qui poursuit son discours. Tel un prophète, il annonce : « Je vais rectifier la vérité !  ». Il continue sur sa lancée : « Il y a deux discours. Celui du président de l’agglomération, qui a entériné un tracé passant en plein milieu du Parc Montcalm. Et celui des candidats, qui, voyant le tollé général provoqué par cette annonce, sont tous revenus sur leur décision ». Une solution lui apparaît comme évidente : « Il faut une nouvelle DUP (déclaration d’utilité publique, ndlr) pour un nouveau tracé ». Il passe aux menaces : « Je vous le dis, si la liste Moure est élue, le tramway passera à travers le Parc ».

Robert Subra, du groupe socialiste, s’interpose : «  On a proposé un tracé qui dessert les logements et les emplois. Il y en avait trois possibles, cellui qui a été adopté par les commissaires enquêteurs était le plus utile. Le préfet a pris cette DUP et cette solution a été acceptée sans remarque ni observation ».

Les élus s’emportent, chacun y va de son commentaire. Comme ce conseiller, au fond de la salle : « Monsieur Domergue parle mais il n’a jamais emprunté le tram ! Il en a même peur !  », fulmine-t-il. Parfait dans son rôle, Jacques Domergue se lève sur-le-champ. Il brandit un ticket rouge, s’apparentant à celui du tramway de Montpellier. Un élu ironise « C’est un ticket de tram de Toulouse ».

Le fin mot de l’histoire

Serge Fleurence rappelle à l’ordre le candidat de l’opposition au son de cloche. Il réitère : « le tracé se fait en bordure nord du parc, il ne le traverse pas ».
Michel Passet, deuxième adjoint au maire (Parti communiste), le soutient. Il s’étonne du retournement de veste de certains élus et partis politiques  : « Je rappelle à tous que le tracé de la ligne 5 a été adopté par le conseil d’agglomération à l’unanimité. Et que toutes les formations politiques représentées ici sont également présentes au conseil d’agglomération. Il est étonnant que vous le votiez là-bas et que vous le contestiez ici », s’agace-t-il. Il tient à souligner un dernier point : « un engagement a été pris par rapport à l’emplacement de la cité de la jeunesse (terrains de l’ancienne École d’Application d’Infanterie, proche du parc Montcalm, ndlr). D’ici peu, des milliers de jeunes vont se déplacer en tramway des universités à la cité de la jeunesse. On ne peut pas revenir dessus », conclut-il.

Philippe Thines, rapporteur de l’affaire, a le dernier mot. Il rappelle qu’il ne s’agissait pas d’évoquer le tracé mais bien les questions de sécurité concernant les travaux des feux tricolores.
Oui, mais c’était sans compter les esprits échauffés de certains en cette période pré-électorale.

Du rififi à la Tam

Ce vendredi 19 mars, la ville de Montpellier était complètement paralysée par un mouvement de grève de la Tam, suite à l’agression d’un conducteur de bus. Aucun tramway ni aucun bus n’ont circulé. Conséquences : des embouteillages monstres partout dans la ville ou débrouille totale pour se déplacer.

Un chauffeur de bus a été agressé hier aux alentours de la gare. Quatres individus semaient le désordre dans un bus, chahutaient et décompressaient les portes. Lorsque le conducteur du bus est descendu pour refermer la porte, un des jeunes lui a donné un coup de pied à la tête, le blessant gravement.

Selon Marie Christine Dumur, responsable de la communication externe de la Tam : « la brigade des transports, mise en place depuis plus d’un an, est immédiatement intervenue sur place ». Les deux individus sont toujours recherchés.

Suite à cette agression, l’ensemble des conducteurs de la Tam ont fait appel à leur droit de retrait, en décrétant un mouvement de grève sans préavis. Le mouvement a largement semé la pagaille dans la ville de Montpellier où aucun tram, aucun bus n’a circulé.

Les usagers se sont retrouvés dépourvus de transports. Dans les établissements scolaires, les salles de classe étaient vides : certains professeurs se sont retrouvés avec seulement deux ou trois élèves. En effet, seulement quelques parents ont pu déposer par les moyens du bord leur enfant. Mais, ils étaient contrariés et déboussolés. Surtout concernant le retour des enfants, aussi bien pour le matin que pour le soir, au cas où il n’y aurait pas de cours.

Parallèlement, la Tam poursuit également un mouvement de grève pour l’obtention de prime de ses salariés. Tous les samedis après-midi, les usagers ne disposent que d’un service restreint à partir de 14 heures.

Avenue de l’Europe : « la rue de Rivoli » de l’agglo Montpelliéraine

Dans le sillon de la ligne 2 de tramway (reliant Jacou à Saint-Jean-de-Védas), les projets d’aménagement urbain fleurissent. Fortement encouragées par l’Agglomération, les communes s’engagent à favoriser la rentabilité du réseau de tram montpelliérain.
Exemple à Castelnau-le-Lez, dans la périphérie Est de Montpellier.

Avec les contrôleurs, « Ticket, s’il vous plaît ! »

Le front en sueur, le regard rivé sur le quai à chaque arrêt. Le stress pour bon nombre d’usagers du tram sans ticket. Parfois, pour les contrôleurs aussi, « c’est dur ». Embarquement avec une équipe de Montpellier.

Les deux Patrick, Serge, Alain, Thierry, Jean-Michel, Pascal et Frédéric naviguent de rame en rame sur la ligne 1. Moyenne d’âge, 35 à 40 ans, Tous ont la carrure imposante. Tous cravatés, tenue impeccable. Le chef d’équipe, Patrick, décide de la marche à suivre. « C’est un peu plus difficile maintenant. Il y a plus d’agressivité qu’avant. » Par période, le contrôleur a des coups de blues. « On ne respecte plus aucune institution », déplore-t-il. Thierry a quitté la conduite pour le contrôle il y a cinq ans. Il relativise. « On est toujours dehors. Les horaires sont meilleurs. C’est un choix, on ne nous y a pas forcés. Il y a des problèmes comme partout ». Serge, lui, est dans le métier depuis dix-huit ans et ne s’en lasse pas. Même s’il a été agressé à trois reprises. Côtes cassées la première fois. C’est devenu « naturel » de contrôler. Et « il n’y a pas que le côté répressif, il y a aussi les renseignements. » Pascal poursuit : « Il y a de l’indulgence. Des fois, on regrette… » Les non titulaires ont besoin d’alterner avec la conduite, sinon « ça pèse ».

« En temps normal, je ne l’aurais pas verbalisé. S’adapter à chaque situation, c’est ça le plus dur »

14 h 30, période creuse, les contrôleurs peuvent « décompresser ». Le bon côté de la mission, « une bonne entente dans l’équipe, un soutien ». Une cohésion « très importante » dans ce métier. On l’observe quant à leur manière de travailler. A peine perceptible, un petit sifflement leur sert de code pour communiquer. Savoir quand monter, descendre et changer de rame. Récupérer la machine à carte… Qu’ils dégainent à chaque arrivée de tram. Ils s’avancent à deux par porte. Toujours. Et ne se « désolidarisent pas ». Un jeune garçon lance naturellement : « J’ai pas ma carte ». Patrick laisse passer, « pour cette fois ». Un autre valide son ticket sous le nez des contrôleurs : amende. « C’est un sport national la validation à vue. C’est sa parole contre la nôtre. »

Au Corum, sur le quai, un jeune homme lance des gestes brusques envers Serge, une armoire à glace pourtant. Pour un arrêt, il se vexe de devoir payer 27 €. Encore… « Vous n’êtes pas compréhensifs ! Les étudiants galèrent en ce moment ! » Un dialogue s’engage finalement. « C’est ça le plus important, désamorcer », souligne Frédéric. On explique au jeune homme que s’il avait prévenu qu’il ne faisait qu’un arrêt en montant dans le tram, ce serait passé. Mais pas alors qu’il était déjà dedans. Pascal souligne qu’il faut être conditionné pour faire ce métier. « Moi, ça va, je donne des cours de self-défense. »

« 15 à 20 % des personnes contrôlées rouspètent », prévient Patrick, le chef d’équipe. D’autres tentent de s’expliquer, paraissent tellement sincères, désemparées, que cela en ferait presque mal au cœur. Comme Jean-Luc : « C’est idiot, j’ai toujours mon ticket dix voyages sur moi, là, je ne sais pas où il est. C’est normal de payer. Je travaille, pour moi, l’amende c’est rien. Et puis, je ne suis pas bête, j’ai vu les contrôleurs et je suis monté quand même. » Thierry, le contrôleur, ne peut pas gracier Jean-Luc à ce moment-là. Il vient de faire payer une jeune femme qui regarde cet autre usager se défendre, pour échapper à l’amende. Le contrôleur l’assure : « En tant normal, on ne l’aurait pas verbalisé. S’adapter à chaque situation, c’est ça le plus dur. » D’un côté comme de l’autre. Bilan des deux heures : 25 procès verbaux sur les 13 rames contrôlées.

Sur six millions de voyageurs par mois, 130 000 sont contrôlés.

8 listes pour une seule place : qui sera le nouveau maire?

Si la socialiste Hélène Mandroux est annoncée comme la grande favorite de cette édition 2008, sept autres candidats postulent au fauteuil de maire de Montpellier. Tous ont leur idée de ce que serait « leur Montpellier ». Un trombinoscope et les grands points des différents programmes pour faire connaissances avec les concurrents.

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