Une star du RnB américain à Montpellier

Décidément la charmante ville de Montpellier est une attraction pour les people du monde entier. En effet, si vous étiez ce samedi, place Jean Jaurès, aux alentours de 16h30, vous auriez aperçu dans un bain de foule la star du RnB américain Omarion.

Dans une ambiance plutôt décontractée, on pouvait voir ce samedi à Montpellier, la star américaine longer la rue de la Loge en direction de la Place de la Comédie. Créant ainsi une vive émotion auprès des passants, Omarion, qui se produisait le jour même au Coton Club de Montpellier, a traversé le centre ville accompagné de son staff et signant des autographes.

De son vrai nom, Omari Ishmael Grandberry, né le 12 novembre 1984 à Inglewood (Californie) et plus connu sous le nom d’Omarion (Prononcez oma-ri-onne). Ce chanteur afro-américain de RnB aux multiples talents est acteur, parolier, producteur de disques, fondateur du groupe 2 Much et ancien chanteur leader du boys band B2K.

En 2001, Omarion devient le leader du boys band hip hop/R&B B2K, un groupe composé de quatre membres : Omarion, Jarell J-Boog, DeMario Raz-B Thornton, et Dreux Lil Fizz Frederic. Ensemble, ils sortent un premier album, B2K, mais connaissent plus de succès avec le deuxième, « Pandemonium ». Classé dans le top 10 au Billboard 200. Cet album leur offre une première place avec le titre Bump Bump Bump. Après leur troisième album, et la bande originale du film « Street Dancers », le groupe B2K annonce sa dissolution.

Plus chanceux que ses anciens compères, Omarion sort son premier album solo, O, dont la chanson éponyme fait un carton aux États-Unis. La même année, il participe comme invité à la chanson Let Me Hold You de Lil’ Bow Wow qui est classée numéro 4 au Billboard Hot 100 : c’est la première fois que le chanteur est propulsé dans le top 10 en tant qu’artiste solo.

En décembre 2006, il sort son deuxième album, 21, le titre représentant l’âge qu’il avait au moment de l’enregistrement, bien qu’il eût ses 22 ans avant la sortie de cet album. Entourage, le premier extrait de l’album n’atteint que la 58e place au Billboard Hot 100.

Toutefois, au cours de sa carrière, l’artiste a collaboré avec les poids lourds de la scène Rap/Rnb américaine. Notamment, Ciara, Young Joc, Ne-Yo, Usher, Lloyd, Mario, Pretty Ricky, Jibbs,Ashiq et d’autres chanteurs et rappeurs.

Depuis, le jeune artiste a écrit son autobiographie, O, sortie en 2005, dans laquelle il raconte sa vie depuis son enfance, son appartenance à un gang, jusqu’à sa carrière cinématographique mais également son aventure en tant que membre des B2K, dont il donne entre autres les raisons de la séparation.

FISE: Daniel Dhers et Mark Webb plus motivés que jamais

Malgré un temps toujours aussi exécrable, le FISE bat son plein et les spectateurs sont venus en masse encourager leurs champions.

Ce vendredi, c’était au tour des riders professionnels de se qualifier en BMX flat, puis sur la mini rampe à spine.

Tributaires des averses, public et riders ont pris le pli. Et lorsque la pluie interrompt les sessions, chacun fait contre mauvaise fortune bon coeur. C’est ainsi que Marc Webb (tout juste arrivé sur le festival) et Daniel Dhers ont pris le temps de répondre à nos questions.

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Vous revoilà au FISE, cela devient une habitude ?

Mark Webb : C’est la quatrième fois que je viens ici, j’aime l’ambiance et j’y ai gagné aussi, donc c’est presque une habitude. Il y a vraiment une atmosphère spéciale ici, alors je reviens oui.

Daniel Dhers : Je suis arrivé mercredi à Montpellier, après plusieurs changements d’avions. C’est ma quatrième fois et j’aime vraiment revenir.

Quelle est cette ambiance si particulière dont vous parlez ?

Daniel Dhers : Ici, ce n’est pas comme aux USA, où l’on exécute des tricks énormes parce que la discpline est connue depuis de nombreuses années déjà et que le public en demande toujours plus. L’avantage de venir en Europe, c’est de faire découvrir le BMX et de pouvoir miser sur la technique, et non sur le spectaculaire. J’aime vraiment venir en France, et à Montpellier, on peut faire la fête.

Vous arrivez facilement à conciliez sorties et compétitions ?

Daniel Dhers : Quand je suis aux Etats Unis, j’essaie de me coucher tôt et d’être vraiment concentré. Je le suis aussi quand je viens au FISE, mais les enjeux sont moins importants. C’est surtout pour le plaisir.

Que voulez vous dire?

Mark Webb : Et bien, ici c’est plus affectif en fait. Par exemple, j’aime vraiment le park cette année.

Daniel Dhers : Les prix sont moins importants, on ne vient pas pour l’argent. C’est beaucoup moins commercial.

Comment allez vous gérer ces épreuves avec la pluie?

Mark Webb : Le temps ne facilite pas les choses, mais je suis Anglais, je peux surmonter cela ! Je vais faire de mon mieux pour les jours à venir et on verra bien.

Daniel Dhers : La pluie complique franchement les choses. J’étais à un contest en Allemagne il y a peu, et on a eu besoin de trois jours pour boucler une épreuve. On est totalement dépendants du temps. J’aimerais vraiment qu’il fasse beau pour la finale. En tout cas, je vais tout donner.

FISE 2010 : une 14ème édition tout en suspens

En direct des berges du Lez, l’actualité du Festival International des Sports Extrêmes.

Au fil de quatorze éditions, l’évènement est devenu tradition. Les meilleurs riders de la planète ont pris l’habitude d’investir les berges du Lez le temps du FISE.

Roller, BMX, Skate, Wake… font la part belle aux sensations fortes. Et quand un festival consacre ainsi les sports extrêmes, Montpellier se met au rythme de la glisse. Du matin jusqu’à minuit, les épreuves se succèdent. Après l’habituel training du mercredi, les compétiteurs n’ont pas chômé en cette journée d’Ascension : dès 9h30, s’ouvraient les sessions de qualifications amateurs. Jusqu’au soir, les figures s’enchaînent. Et ce sont les riders pro en BMX qui clôturent la journée autour de la rampe à Spine.

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Malgré une météo capricieuse, le public était fidèle au rendez vous. Et, si certaines épreuves (Roller et BMX amateurs) ont été reportées, l’organisation maitient le cap :  » nous disposons des alertes météo en temps réel. Ce week end, le beau temps devrait être de retour. On suit donc le programme et on continue comme prévu » , explique Anne Cécile Amirault.

Avec l’arrivée de Ross Mc Gouran en skate et Lance Mc Dermott, venus tout droit d’outre Manche, le festival promet donc son lot de belles surprises.

Les Boutographies mettent à l’honneur les jeunes photographes européens

Du 8 au 23 mai, les Boutographies s’exposeront à Montpellier pour la dixième fois. A travers la ville, différentes manifestations mettront à l’honneur une photographie dans tous ses états. Du Carré Sainte Anne au Pavillon Populaire en passant par la galerie A la Barak, autant de lieux qui présenteront les travaux de jeunes auteurs émergents.

Que les amoureux de la photographie se réjouissent : elle a encore de beaux jours devant elle à Montpellier. Après un hiver riche en émotions photographiques : l’exposition à plusieurs facettes de Raymond Depardon, celle des photojournalistes régionaux, celle des 20 ans du fond photographique de Montpellier où se côtoient Willy Ronis, Sebastiao Salgado, Bettina Rheims, Bernard Faucon ou encore la très grande Sabine Weiss, le printemps s’annonce radieux.

Le festival des Boutographies fête ses dix ans. Et la programmation prévue est à la hauteur de l’évènement. La vocation d’une telle manifestation ? Faire connaître et donner une chance à de jeunes photographes européens de présenter leurs travaux. Ces auteurs émergents viennent d’Italie, de Belgique, d’Hollande, de Suède, riches de leurs univers pluriels.

Le Pavillon Populaire, devenu un «écrin architectural dédié à la photographie», accueillera des démarches photographiques personnelles, introspectives, au cœur de l’intime. L’italienne Anna Di Prospero et le français Benjamin Schmuck, malgré leur jeune âge, la vingtaine à peine, font preuve d’une grande maturité, mettant à nu leur intériorité.

Autre lieu, autre approche. Au Carré Sainte Anne, une photographie plus politique et sociale se dévoilera aux yeux du public. Le lieu, en effet, se prête mieux à des tirages aux formats plus volumineux tels ceux de Bruno Arbesu. Le photographe français s’est intéressé à la scénographie et au côté marketing des meetings électoraux. Il a suivi chaque parti politique en France, en Allemagne et en Espagne. Iorgis Matyassy a photographié encore et encore les coursiers à vélo de Londres, profession précaire mais emprunte d’une grande liberté. Il s’est dit fasciné par cette «figure éphémère de la jungle urbaine». Autre figure de la jungle urbaine : ces jeunes femmes issues de l’immigration vivant dans les banlieues. L’hollandaise Ilse Frech a dressé le portrait de ces femmes à la fois modernes et attachées à leurs traditions et à leurs origines. La photographe a souhaité aller au delà des clichés.

A côté de ces deux principaux lieux d’exposition, les Boutographies sèment ci-et-là les germes d’une photographie européenne. Outre la rétrospective qui donnera à voir, sur l’Esplanade Charles de Gaulle, les plus importants clichés de cette dernière décennie, des galeries ont lié partenariat avec les Boutographes : l’Espace Transit ou la galerie A la Barak. Les Boutographies comptent aussi de nombreuses manifestations : séminaires, lectures de portfolios, projections au Musée Fabre et ailleurs, … L’objectif étant de faire connaître une photographie de qualité à tous. L’esprit du festival étant de «faire gratis et libre», souligne Peter Vass, le président des Boutographies. Même si ce dernier ajoute : «les Boutographies, c’est l’affaire des amoureux de la photo».

Pour connaître dans les détails la programmation, le site des Boutographies est accessible ici.

Amel Bent sur la scène du Rockstore

A l’occasion du lancement de sa troisième tournée, Amel Bent se produisait ce samedi sur la scène du Rockstore de Montpellier.

Décidément, cette semaine aura été riche en actu people pour la charmante ville du sud. Après Philippe Gildas, venu présenté son livre Comment réussir à la télévision quand on petit, breton avec de grandes oreilles. Puis le casting de choc, avec les acteurs, Pascal Elbé, Patrick Bruel, Mathieu Delarive, pour l’avant première du film Comme les cinq doigts de la main. C’était hier, au tour d’Amel Bent, l’idole des jeunes et moins jeunes de venir faire son « show » à Montpellier.

De son vrai nom Amel Bachir, la chanteuse âgée de 24 ans d’origine marocaine-algérienne, est née le 21 juin à Joué-Lès-Tours. Elle grandit dans la cité de la Courneuve dans le 93, où elle prend des cours de chant. Adolescente, elle se destine au métier de psychologue. Cependant, elle reste passionnée de musique. Ainsi, dès 16 ans, elle saisit l’occasion de chanter « La Marseillaise » dans un stade près de chez elle devant trois mille personnes. Elle a composé notamment avec des poids lourds du Rap hexagonal, tels que Rohff et Kerry James

La diva du Rnb français, était présente samedi 17 avril à la Fnac de Montpellier pour une séance de dédicaces, suite au lancement de sa troisième tournée. « C’est la seconde date d’une tournée qui s’annonce déjà, bien partie », lance Nicolas le manager. Son dernier album, « Où je vais », est dans les bacs depuis le 4 décembre 2009, l’avant-dernier a atteint les 150 000 exemplaires vendus. Pour l’occasion, de nombreux fans, entre 300 et 500 personnes sont venus encourager la chanteuse. Ces derniers ont du faire la queue des heures durant pour avoir un autographe. Certains sont partis de loin pour voir « la starlette ». C’est le cas de Marine, 18 ans, et d’Eliza, 13 ans, qui sont originaires de Bordeaux. Dans la foule, on pouvait trouver des très jeunes et d’autres plus âgées telles que Aicha, 26 ans, et Cedia, 27 ans. Toutes sont venues soutenir leur idole, Charrazed et Nabila 22 ans, affirment qu’elles attendent depuis 15h30, soit 2h devant la Fnac. Pour ces jeunes filles, le jeu en valait la chandelle. « On aurait été prêtes à attendre plus longtemps s’il le fallait, elle nous représente, on adore sa voix et ses textes nous touchent énormément », assène l’une d’entre elles.

Avec un public aussi hétéroclite, tout âges et sexes confondus, la tournée promet d’être un succès, de Marseille, Lyon, Lausanne, les îles françaises, le Maghreb et même la Russie… Décidément viser la lune ne lui fait vraiment pas peur à l’infatigable Amel. Arrivée aux alentours de 17h30, Amel Bent qui n’a pas souhaitée faire d’interview, s’est pliée à l’exercice des dédicaces pendant 1h30. Elle a même eut le temps de boire un thé au miel, soigneusement préparé par son bodyguard, et prendre quelques photos avec ses fans. Dans la même soirée, elle a chantée au Rockstore où 1000 personnes étaient attendues. Manifestement, pour Amel qui a écoulé toutes ses places à trois semaines du concert d’après son manager, nul doute que le succès est dans la poche !

« Des solutions locales pour un développement global », des clés pour l’avenir

Du 7 au 13 avril est diffusé le documentaire « Des solutions locales pour un développement global » de Coline Serreau à l’Utopia de Montpellier. Au menu de ce film résolument optimiste : la dénonciation des méfaits de l’agriculture intensive et la volonté de montrer qu’une autre voie est possible.

20 ans de collection photographique à Montpellier

Au Pavillon populaire, du 3 mars au 30 avril 2010, se tient une exposition photographique présentant plus de 200 œuvres, offertes ou acquises par Montpellier durant ces 20 dernières années. HautCourant vous propose une visite guidée.

Du rififi à la Tam

Ce vendredi 19 mars, la ville de Montpellier était complètement paralysée par un mouvement de grève de la Tam, suite à l’agression d’un conducteur de bus. Aucun tramway ni aucun bus n’ont circulé. Conséquences : des embouteillages monstres partout dans la ville ou débrouille totale pour se déplacer.

Un chauffeur de bus a été agressé hier aux alentours de la gare. Quatres individus semaient le désordre dans un bus, chahutaient et décompressaient les portes. Lorsque le conducteur du bus est descendu pour refermer la porte, un des jeunes lui a donné un coup de pied à la tête, le blessant gravement.

Selon Marie Christine Dumur, responsable de la communication externe de la Tam : « la brigade des transports, mise en place depuis plus d’un an, est immédiatement intervenue sur place ». Les deux individus sont toujours recherchés.

Suite à cette agression, l’ensemble des conducteurs de la Tam ont fait appel à leur droit de retrait, en décrétant un mouvement de grève sans préavis. Le mouvement a largement semé la pagaille dans la ville de Montpellier où aucun tram, aucun bus n’a circulé.

Les usagers se sont retrouvés dépourvus de transports. Dans les établissements scolaires, les salles de classe étaient vides : certains professeurs se sont retrouvés avec seulement deux ou trois élèves. En effet, seulement quelques parents ont pu déposer par les moyens du bord leur enfant. Mais, ils étaient contrariés et déboussolés. Surtout concernant le retour des enfants, aussi bien pour le matin que pour le soir, au cas où il n’y aurait pas de cours.

Parallèlement, la Tam poursuit également un mouvement de grève pour l’obtention de prime de ses salariés. Tous les samedis après-midi, les usagers ne disposent que d’un service restreint à partir de 14 heures.

Soma, le groupe qui va faire causer ?

Jeudi 11 mars, Soma s’est produit sur la scène de la salle Victoire 2 de Montpellier. Révélés en fin d’année 2009 avec leur clip «Get down», les Istréens entament une tournée-marathon pour présenter leur nouvel album «Jewel and the Orchestra» sorti le 1er mars. Sur scène, les quatre garçons se donnent à fond. S’ils continuent sur cette lancée, ils pourraient faire partie des révélations françaises de cette année 2010. Rencontre avec Lionel, chanteur et guitariste.

Formés depuis 2001, les Soma se sont connus sur les bancs du lycée à Istres (13). Leur album « Jewel and the Orchestra » produit par Dave Sardy (Oasis, Dandy Warhols, Cold War Kids) offre un rock pop enjoué. Lionel, chanteur et guitariste du groupe, nous en dit plus.

Votre clip « Get down » est un peu violent, cela vous a aidé à vous faire connaître ?

Oui c’est sûr, on savait en le tournant que les télés ne voudraient pas le passer. Nous avons voulu rassembler nos références comme Tarantino (Reservoir Dogs) ou Kubrick (Orange mécanique). Notre but n’était pas de choquer mais de montrer notre univers. Au final, le clip nous a servi à nous faire connaître mais nous a desservi aussi.

Pourquoi cela ?

Nous avons été censuré sur Youtube. Certains ont trouvé le clip trop « trash » et l’ont fait savoir. Pour nous, cela a été mal interprété, c’est seulement un gros délire à prendre au second degré.

« Jewel & the Orchestra », le nom de votre album est un titre figurant dessus, pourquoi avoir choisi ce nom ?

Tout d’abord, on trouvait que le nom était un peu mystérieux, que ça sonnait bien. Mais surtout, c’est un titre qu’on a composé au dernier moment. En fait, il nous restait quatre heures de studio. J’avais gratouillé de mon côté cette chanson et j’ai dit aux autres « On la fait ». Du coup, on l’a enregistrée. Nous étions tous vraiment satisfaits. C’était notre bijou d’où le nom (NDLR: jewel signifiant bijou en anglais).

Vous avez débuté votre tournée le mercredi 10 mars à Bordeaux avec des dates jusqu’au 24 juillet, prêt pour le marathon ?

Oh, ça ne nous effraie pas. De la scène, on en fait depuis toujours. C’est par là que nous nous sommes faits connaître. On préfère faire notre promotion comme ça, que d’acheter des encarts publicitaires qui te coûtent très chers.

Le 17 mars prochain vous passez dans « Taratata », l’émission de Nagui sur France 4, comment cela s’est passé ?

Super bien. Nagui est un pro. Il sait mettre à l’aise, poser les bonnes questions et rebondir. Un moment agréable.

Souvent, il y a des duos avec d’autres artistes dans cette émission, vous l’a-t-on proposé ?

On avait la possibilité de faire un duo avec Olivia Ruiz ou Tété mais ça ne s’est pas fait. Nous n’avons pas trouvé le morceau qui collait. Ce sont des artistes que nous respectons mais nos univers sont différents. Faire un duo sans être pleinement satisfaits ne nous intéressait pas.

À l’instar des Jackass, vous avez diffusé sur votre myspace des vidéos de vous mettant le « bazar » dans un magasin d’instruments de musique ou giflant un homme très baraqué. Allez-vous en faire d’autres ?

Oui, en fait on les a toutes déjà tournées. On va en diffuser une toutes les deux semaines. Nous avons pas mal de retours donc ça plaît. Les gens nous suivent. Nous ça nous fait marrer de faire ça. Mais maintenant que nous sommes signés sur un gros label (NDLR : Sony), il nous faut réfléchir à deux fois avant de faire ces vidéos.

Quel va être votre prochain single ?

On est en pleine discussion avec la maison de disques. On semble être d’accord pour que cela soit « Backyard ». Ce n’est pas encore décidé.